Leserforum / Pression politique patronale
Les grands patrons sont rares à oser s’exprimer politiquement en public, ils sont habitués à „travailler“ en coulisses. Ceux qui ont parlé en France ont vendu la mèche inconsciemment, ils se sont félicités que La France insoumise (LFI) n’a pas été capable de s’imposer plus. Le Rassemblement national (RN) n’était pas leur principal souci. Il y a eu auparavant des contacts entre le patronat et le RN.
Bref, l’ennemi public est connu, c’est La France insoumise ! L’image de la France a pris un sacré coup, constatent les patrons de groupes internationaux, investisseurs et banquiers. Le bilan économique „pro-business“ de Macron est mis en question, voire oublié. A savoir que cette économie „pro-business“ a „rapporté“ à l’économie française dans sa globalité le surendettement et les clivages sociaux qui n’ont pas diminué. Les patrons sont vent debout contre le Nouveau Front populaire (NFP). La bête noire, c’est le Smic à 1.600 euros proposé par le NFP, ainsi que la crainte d’un arrêt des mesures favorables aux grandes entreprises. Tous les privilèges de la classe économique dirigeante seraient mis en question. Les sanctions des marchés financiers seraient immédiates, des cadres étrangers installés en France seraient prêts à „muter“ si la fiscalité sur leur salaire était renforcée (cf. Figaro-éco, 11.7.2024). La Bourse de Paris craint, le cas échéant, une crise de la dette, de l’euro, voire une crise de l’Europe. Il vaudrait mieux avoir une France non gouvernable qu’une prise de pouvoir du Nouveau Front populaire. Or, dans toutes ces considérations „pro domo“ l’on oublie que lorsque les institutions ne peuvent plus répondre à une situation politique, elles perdent leur première fonction. Il faut donc changer de république. La Ve a assez „merdé“ au nom du capital et de ses acolytes!
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