Do., 2. Mai 2024




  1. JJ /

    Quand l’électricité manque le système va craquer. Les coûts dans ce cas probable dépasseront toute estimation. Le démantèlement des infrastructures et le „désamorcement“ des noyaux nucléaires dans les nouvelles usines ( Rubiator )est faisable. Une usine est d’ailleurs construite à la frontière Belgo-Française. Coût 5 Milliards. Mais que peut coûter un „black out“de plusieurs jours? Inestimable.
    Il est vrai que l’entretien est aussi coûteux.Mais il ne faut pas jouer avec le nucléaire comme c’était le cas en Ukraine et aussi au Japon. Tchernobyl était délabré et on ne construit pas de centrale nucléaire au bord de la mer dans un pays qui est menacé par des Tsunamis. Pour les aéoliennes,leur démantèlement n’a pas encore commencé,mais on a déjà une idée des coûts,de plus les hélices sont déchets irrécupérables et dangereux. Le solaire et le vent sont des énergies „volatiles“,c’est à dire pas toujours disponibles. Oui,oui on peut construire des accumulateurs,mais…..Dans un cas de „brown out“( chute de la tension en dessous d’un niveau critique) les bornes électriques pour les voitures sont les premières sur la liste de coupure.Attendons donc la thermo-fusion qui un jour résoudra les problèmes,mais jusque là le nucléaire est inestimable.Sauf pour les allemands qui commencent à réouvrir leurs centrales charbonnières.

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